GR34 : une partie du tracé déplacée
Lire l’article sur le site de Ouest France.
Continuer la lecture de « Saint-Quay-Portrieux. Sentier littoral : consolidation en deux phases – Ouest France »En cette rentrée 2021, je souhaite de nouveau m’adresser à vous.
Depuis 18 mois, notre pays fait face à une crise sanitaire et économique sans précédent, et nous avons agi sans relâche avec l’intérêt des Français au cœur de nos préoccupations.
Retrouvez l’intégralité de ma lettre ci-dessous.
Le 12 avril 2021, à l’occasion de la réunion du comité de suivi du Ségur de la santé et de l’ensemble de ses parties prenantes, le Gouvernement a présenté la deuxième étape des accords du Ségur de la santé, prévoyant la revalorisation des carrières pour les soignants paramédicaux.
Au-delà des augmentations de rémunération pour les soignants aujourd’hui, les accords du Ségur de la santé prévoient également la revalorisation des carrières des soignants paramédicaux, en se fixant deux objectifs :
Le premier, donner des perspectives d’évolutions de rémunération pour les soignants qui soient à la hauteur de leur engagement. Le second, susciter des vocations et attirer les nouvelles générations vers des métiers du soin rendus plus attractifs.
Ces revalorisations des grilles de rémunération ont fait l’objet d’échanges réguliers et soutenus entre les services du ministère et l’ensemble des organisations syndicales représentant les professions paramédicales dans les établissements de santé signataires des accords. Au total, ce sont plus de 500 000 professionnels qui interviennent tous les jours dans les établis- sements sanitaires, médico-sociaux ou encore dans les services sociaux de la fonction publique hospitalière qui sont concernés. Dès 2022 ce sont l’ensemble de ces professionnels, salariés d’une structure publique de l’État ou rattachée à une collectivité locale ainsi que ceux du secteur privé, qui verront leur carrière revalorisée.
Cette revalorisation est la juste récompense pour le travail quotidien fourni par l’ensemble du personnel médical, durement mobilisé depuis le début de la crise sanitaire.
Le ministère du Travail a publié, le mercredi 24 juin, une nouvelle version du protocole national de déconfinement en entreprise, qui assouplit les règles applicables sur les lieux de travail tout en respectant les consignes sanitaires actuelles.
Ce protocole se substitue au précédent, mis en ligne le 3 mai dernier, ainsi qu’aux 90 guides métiers élaborés par le ministère, les autorités sanitaires, branches professionnelles et partenaires sociaux.
La situation sanitaire est en voie d’amélioration significative. Si cette situation permet d’envisager un assouplissement des conditions sanitaires de l’activité, elle ne doit pas conduire à relâcher la vigilance face à un risque épidémique qui subsiste.
Le nouveau protocole national de déconfinement assouplit les règles applicables sur les lieux de travail et facilite le retour à la normalité de l’activité économique, tout en respectant les consignes sanitaires actuelles fixées par le Haut Conseil de la Santé publique
1) Le respect des gestes barrières et de la distanciation physique est le cœur des mesures de protection des salariés.
2) Le télétravail n’est plus la norme, mais il reste une solution à privilégier dans le cadre d’un retour progressif à une activité plus présentielle, y compris alternée.
3) Les personnes à risque de forme grave de Covid-19, qui ne bénéficient pas d’un certificat d’isolement, doivent pouvoir télétravailler ou bénéficier de mesures adaptées de protection renforcée.
4) Une attention particulière doit être portée par l’employeur dans l’application des mesures auprès des travailleurs détachés, saisonniers ou à contrat de courte durée.
5) Le protocole précise les consignes de prévention des risques de contamination manu-portée ainsi que d’aération ou encore d’élimination des déchets.
6) Le protocole rappelle la conduite à tenir en cas de salariés présentant des symptômes de Covid-19.
Ce nouveau protocole a vocation à être déployé dans l’ensemble des entreprises dans le cadre d’un dialogue social de proximité.