Prolongation de l’éligibilité des factures d’aide à la numérisation pour les TPE PME

Dans le cadre du plan de soutien à la numérisation des commerçants, des artisans et des professionnels libéraux, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance et Alain Griset, ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises ont confié, en janvier 2021, à France Num, initiative gouvernementale pour la transformation numérique des entreprises pilotée par la Direction générale des Entreprises, la mise en place d’une aide numérique de 500 euros destiné à couvrir des coûts de numérisation pour les TPE fermées administrativement lors du second confinement et les hôtels. Cette aide a déjà été sollicitée par 27 000 entreprises.

Pour permettre à un maximum d’entreprises de bénéficier du dispositif, et au regard de l’actualité sanitaire, la période d’éligibilité des factures est prolongée jusqu’au 30 juin et cette aide est étendue à toutes les entreprises de moins de 11 salariés, tout secteur d’activité confondu.

Ce chèque numérique répond à un réel besoin des petites entreprises de se doter d’outils numérique pour la poursuite et la relance de leur activité. Il participe à accompagner la transformation numérique des entreprises, qui est l’un des enjeux prioritaires du plan de relance.

Les entreprises ont désormais la possibilité de présenter une facture datée jusqu’au 30 juin 2021 au lieu du 31 mars initialement.

Pour rappel, cette aide prend en charge tout ou partie des coûts liés à une démarche de numérisation concernant la vente ou la promotion, la gestion de l’entreprise ou encore la relation clients.

Pour bénéficier de cette aide, les entreprises devront justifier, à l’aide d’une ou plusieurs factures, avoir engagé des dépenses de numérisation à hauteur de 450 euros minimum, et ce entre le 30 octobre 2020 et le 30 juin 2021.

Les informations portant sur les conditions d’éligibilité à l’aide et le téléservice de dépôt de dossiers se trouvent à l’adresse suivante : cheque.francenum.gouv.fr.

Le Chèque énergie en Côtes-d’Armor

Le chèque énergie est mis en place afin d’aider les foyers à payer les factures d’énergie de leur logement. Favorisant les foyers aux faibles revenus, il va de 48 euros à 277 euros. Ainsi en Côtes-d’Armor, c’est 52.760 chèques énergie alloués, 7.064.753 euros d’aides distribuées pour une moyenne de 133.90 euros par foyers.

L’action nationale au service des foyers défavorisés, un fort impact sur nos territoires, doublé d’un engagement énergétique.

Le Chèque Énergie

Plouha : la station d’épuration bénéficie du Plan de relance

La station d’épuration de Plouha présentait des dysfonctionnements qui dégradaient la qualité de l’eau et déversaient des eaux usées dans la plage des Palus. Des travaux étaient donc nécessaires. Ces derniers sont pris en partie en charge par le Plan de relance de l’état à hauteur de 444.300 euros. Ils permettront l’assainissement de l’eau et un retour à une situation environnementale pure.

Pour rappel, les aides de l’État en faveur des collectivités territoriales ont dépassé les 33 millions d’euros. Le Plan de relance en faveur des territoires permet ainsi la rénovation énergétique et s’inscrit dans une démarche de respect de l’environnement. L’investissement national aux répercussions locales. Merci aux acteurs locaux et nationaux.

Précisions pour les mesures du dispositif renforcé en vigueur pour les 4 prochaines semaines

La garde des enfants des personnels prioritaires :

Conformément à l’intervention du Président de la République et pour faciliter la continuité des services de santé notamment, vous trouverez en pièce-jointe la liste des professionnels qui peuvent émarger aux services de garde d’enfants.

  • Les parents pouvant émarger au dispositif doivent répondre aux deux conditions suivantes : leur profession doit être inscrite sur cette liste et ils doivent être en défaut de solution de garde.
  • Pour les 0-3 ans, les parents peuvent exprimer leurs besoins auprès de la CAF sur le site : https://monenfant.fr/
  • Pour les enfants scolarisés, les personnels doivent se rapprocher de la direction de l’établissement scolaire habituel de l’enfant.
  • Les assistants maternels peuvent poursuivre l’accueil des enfants à leur domicile (article 36 du décret).