J’ai clôturé le mardi 6 février la discussion générale préalable à l’examen en séance du projet de loi sur la protection des données personnelles.
J’ai rappelé que le RGPD constitue bien comme un avantage compétitif décisif pour l’Europe. Son extra-
territorialité protègera nos entreprises face à la concurrence internationale, en exigeant des
entreprises étrangères qu’elles adoptent les mêmes standards de protection, et constituera un
formidable outil de soft power au service d’une industrie numérique plus éthique et transparente.
Mon intervention dans l’hémicycle est à retrouver en ligne ci-dessus.