Je vote contre la loi sur la « sécurité globale »

Je suis pour. Pour la protection de nos forces de l’ordre. Pour protéger ceux qui nous protègent. Pour que ce métier soit reconnu à sa juste valeur. Pour que nos forces de l’ordre ne rentrent pas chez elles avec la peur que leur profession ne nuise à leur sécurité individuelle et à celles de leurs proches. 

Mais je suis contre. Contre un texte dont certains articles, et l’un d’entre eux en particulier, sont trop flous sur ses motivations, inopérant dans sa rédaction. Contre une loi comportant trop d’incertitudes sur la garantie de la liberté d’informer et de la liberté de la presse. À une heure où les violences policières sont plus que jamais pointées du doigt, où le terrorisme tente d’étouffer nos voix, il est de notre devoir de garantir l’expression de ceux qui le peuvent encore. Ensemble, consolidons ce bien précieux qu’est la liberté d’informer et le droit d’être librement informé. Cessons la scission incessamment croissante entre les français, leurs représentants et ceux qui les protègent.

Il nous faut protéger les forces de l’ordre au même titre que la liberté d’informer. C’est parce que cette loi ne garanti pas cette horizontalité, que je m’y suis opposé. Notre État de droit dispose d’un arsenal juridique à même de condamner les malveillances vis-à-vis de nos policiers et gendarmes. Une énième loi alimentant une anxiété générale trop présente, une défiance vis-à-vis des autorités est, à mon sens, le risque d’une désincarnation du contrat social que j’ai signé avec les français à mon investiture. 

Protéger les forces de l’ordre et les français : Je m’y suis engagé, je m’y engage, et je m’y engagerai toujours. Je n’ai pas l’indignation sélective des violences :Je les condamne, d’où qu’elles viennent. La France, pays des Lumières et de Charlie Hebdo, se doit de renouer le lien social délité entre le peuple, les policiers et gendarmes, ainsi que les gouvernants. Une confiance sans méfiance, un lien social sans défiance générale, la recherche de l’unité. Ce que cette proposition de loi ne semble pas assurer en l’état. 

« Sauvons la liberté, la liberté sauve le reste » (Victor Hugo; Choses Vues, 1851)

Aides et Covid-19 #3: Le Fonds de solidarité en Bretagne

Au début de la crise sanitaire, l’État a mis en place un Fonds de solidarité afin de venir en aide aux commerçants durement touchés par la Crise du Covid-19. En élargissant et en renforçant cette aide au deuxième confinement, l’État a ainsi aidé plus d’entreprises et de commerces.

L’aide touchée peut aller jusqu’à 10.000 euros et bénéficie à toutes les entreprises comportant jusqu’à 50 salariés. Cela constitue un apport conséquent au PME, TPE, micro-entreprises ou travailleurs libéraux/indépendants fortement marqués par la crise sanitaire.

Ainsi, en Bretagne, 236 780 000 euros de ce Fonds de solidarité sont reversés aux entreprises bretonnes en difficulté. Nous pouvons nous féliciter de soutenir les commerçants locaux. De les accompagner dans cette épreuve. Plus que des mots, des actes et des résultats.

Plus d’informations sur le Fonds de solidarité ici.

Plus d’informations sur les autres aides ici et .

Aides et Covid-19 #2: Les prêts garantis par l’État en Bretagne

Dans cette période difficile financièrement pour les entreprises qui se voient fortement touchées par la crise du Covid-19 et les confinements, l’État a mis en place une aide sous la forme des prêts garantis par l’État (PGE). Ces prêts sont un gros soutien au financement bancaire et à la trésorerie des entreprises de toute taille, quelque soit le secteur et la forme juridique.

Les entreprises peuvent ainsi étaler l’amortissement du prêt entre 1 et 5 ans, avec un soin particulier pour les PME qui bénéficient de taux entre 1 et 2,5%. Ces entreprises peuvent ainsi demander un différé de remboursement allant jusqu’à 2 ans.

La France s’investit énormément dans la sauvegarde de ses commerces en les aidant au mieux à lutter contre la crise présente. Plus que des mots, des actes, avec un total de plus de 4.5 milliards d’euros reversées aux entreprises dans toute la Bretagne par le biais de ces prêts garantis par l’État.

Gain annuel moyen des foyers de la 5ème circonscription suite à la baisse des impôts sur le revenu

La baisse du barème de l’impôt sur le revenu décidée dans la loi de finances a démontrée ses bienfaits: au sein de la 5ème circonscription du 22, nous observons un gain annuel moyen par foyer avoisinant les 300 euros, les dépassant même dans la majorité des communes.

Nous pouvons donc nous féliciter de l’impact positif de nos actions sur la vie économique de centaines de milliers de foyers français au sein des Côtes-d’Armor. Des mots, des actes, des résultats.

Aides et Covid-19 #1: Le chômage partiel en Bretagne

Je me félicite de faire partie du pays d’Europe qui aura le plus aidé les entreprises lors de ce deuxième confinement difficile à vivre pour nos commerces. Le chômage partiel en est un bel exemple : en Bretagne, environ 620.000 salariés ont ainsi été mis au chômage partiel. Leurs salaires ont été pris en charge totalement ou partiellement par l’État. Ainsi, le chômage partiel a contribué à sauver leurs emplois et à soulager de cette charge financière les commerçants en difficulté.