Je salue le discours du Président Emmanuel Macron qui replace le contrôle parental au coeur des enjeux de la protection des mineurs sur les internet, et évoque la présomption de l’anonymat, sans chercher à l’interdire ou le réguler. Le message est clair.
Et j’ajoute que c’est habile de parler de présomption d’anonymat, car c’est reconnaitre qu’il n’existe pas d’anonymat sur internet…. Ceux qui voudraient l’interdire, si il y en a encore, s’attaqueraient en fait au pseudonymat.